Fin de saison, rime avec célébration ! 

Un grand MERCI à chacun pour cette belle année de reprise après covid. Avec sept Rencontres Panach’âges et des Pauses Hebdos qui ont pris leur essor à partir du mois de mars, 132 personnes, dont 25 enfants de moins de 6 ans, ont joué le jeu de la rencontre et du partage avec l’association. 

Quelques remerciements tout particuliers :
–  aux onze jeunes de Made In Care et de Carrel qui sont venus embellir ces rencontres avec leur enthousiasme, leur ouverture et leur joie communicative,
– à Marie-Noëlle qui remporte la palme de la participante la plus assidue ! Elle n’a raté qu’une seule des sept rencontres.
– à Serge, inconditionnel des Pauses Hebdos, toujours présent pour préparer une table accueillante garnie de petits pains et jus de fruits et mettre la dernière main au rangement,
– à Jean-Pierre, Evelyne et Fleur qui comptent parmi les plus fidèles avec cinq Rencontres Panach’âges
à leur actif.

Contons ensemble

Il était une fois une jungle luxuriante et pleine de magie faite d’immeubles, de routes, de parcs, de commerces, d’institutions, d’associations, … L’aventurière qui y pénètre pour goûter les fruits délicieux des rencontres et du partage – qui n’ont pas de prix, comme chacun sait – se doit d’être armée d’un sortilège nécessaire : l’argent ! 

Read More

Panach’âges à la radio

Chaque jeudi à 11h50 sur RCF Lyon, Didier Rodriguez nous emmène par monts et par vaux à la découverte d’un territoire ou d’une initiative positive et solidaire. Grâce à Jean-François qui a initié la mise en lien, il est venu à la rencontre de Panach’âges lors d’une Pause Hebdo. Merci à tous les deux ainsi qu’à Jean-Marc, Serge, Jéhanne et Lou qui ont contribué à rendre l’interview vivante et joyeuse !

Pour écouter l’interview de 8 minutes ou la faire suivre à tes proches
(et savoir quel personnage historique Serge rêve de rencontrer) 
CLIQUE ICI ! 

Prince démasqué !!

Chèr-e abonné-e,

Je me confonds en excuses pour ce silence à rallonge, à un moment où un peu (beaucoup) d’humour, de légèreté et de liens sont plus que bienvenus. Mais je reprends le flambeau, me revoilà dans ta boîte pour te donner les dernières nouvelles de Panach’âges !

Telle la belle au bois dormant, je sors de ma léthargie, du lit de mes incertitudes nourries par la crise que nous traversons, réveillée par un prince charmant déguisé (pour ne pas dire masqué) sous les traits d’une directrice d’HEPAD dynamique (bah oui, les crapauds, c’est un peu has been).
Non pas d’un baiser, tu t’en doutes, mais d’un mail, c’est tellement plus moderne.  « J’ai pensé à vous pour la semaine bleue, est-ce que vous pourriez animer un moment ludique et intergénérationnel dans notre HEPAD ? »

Mais ouiiiiii !!!!

Et paf ! C’est reparti, je relance mon réseau, mon voisinage (500 lettres parties à l’impression aujourd’hui, distribution la semaine prochaine), et je cogite dur pour te concocter rapidement quelques rendez-vous conviviaux tout au long de l’année !

Wouhao la puissance d’une relation bienveillante ! Ça vivifie !!! Nous avons tellement besoin les uns des autres…

Ce prince charmant dont nous avons parfois tant besoin pour réveiller le meilleur de nous-mêmes, c’est un regard, un geste qui signifie : « Je te vois, je ne t’oublie pas, je crois en toi, tu comptes. »

Toi aussi, tu peux être ce prince charmant, cette super-héroïne (aucune allusion au foutu masque), il suffit d’un sourire, d’un mot, d’un geste, … Aujourd’hui plus que jamais dans un contexte qui cultive l’anxiété, la peur de l’autre, la culpabilité, n’entrons pas dans la mascarade (oh oh oh), osons davantage dire à ceux que nous croisons : « Au-delà de nos masques et de nos inquiétudes, je te vois et j’ai besoin de toi, de ta présence, de ton regard, de ton sourire ».

Juste un lien, même fugace, rien de plus.

A bientôt !

Claire

Chat va le faire !

Salut !

J’ai bien failli m’en tenir là : ça fait un moment que je la repousse cette Missive.

Que dire de léger, de réjouissant sans pour autant nier l’inconfort de cette période, la rupture de nos routines, de nos libertés, le sentiment d’impuissance, d’inutilité, la solitude, le deuil, la peur…

La bonne nouvelle, c’est qu’on est fait de mille couleurs et non pas seulement de noir ou de blanc : malgré cette lame de fond pas très rigolote, on peut encore rire, danser, savourer un bon petit plat, plaisanter au téléphone tout à la joie de se sentir connecté à quelqu’un qu’on aime, être fiers de nos petites réussites de rangement, de bricolage, de création artistique, culinaire ou autre.

Read More

Fêter Pâques, mais pourquoi ?

gf

« Je ne sais pas pourquoi on fête Pâques »

Voilà ce que m’a dit une amie au téléphone alors que je l’invitais à participer à notre petit défi artistique. Sur le coup, on n’a pas disserté sur la question, mais elle m’a interpellée.

Pâques est la plus grande fête des chrétiens. Et pour les autres ?? Ne serait-ce qu’une fête purement commerciale propulsée par notre société de consommation qui nous enjoint de nous gaver de chocolat et d’envahir nos maisons de mignons petits poussins ?

Et bien non, je ne crois pas.

 

Read More

Les liens nous font vivre.

Certes, les « appétits relationnels » sont variés mais même les moins friands d’interactions sociales en ont profondément besoin et, par ailleurs, utilisent toute la journée des objets et services procurés par d’autres…

L’interdépendance

Elle n’a pas franchement bonne presse aujourd’hui, flippés que nous sommes de n’être pas tout-puissants, d’être dépendants à sens unique, sentiment d’inutilité et de vulnérabilité à la clé.

Or, « un effet important de l’engagement social est lié au sentiment d’utilité et de sens de la vie qui en découle, et cela contribue au bien-être durable. »*

 

* Ces liens qui nous font vivre, éloge de l’interdépendance

de Rebecca Shankland et Christophe André, est paru fin janvier 2020 aux éditions Odile Jacob. Cet exposé très riche explore les relations en général en s’appuyant sur de nombreux cas pratiques variant les âges et les cercles relationnels (ados, étudiants, personne âgées, amis, collègues, famille, etc). Avec un approfondissement notamment de la relation parent-enfant et de celle du couple, puisque c’est de là que nous partons tous.

Read More

Muffins banane ?

Bonjour, bonjour !

Le voilà le mois de février, avec son cortège de pubs pour la Saint-Valentin !
Je ne sais pas toi, mais de mon côté, ça ne me met pas franchement la banane…

A mon avis, loin de refléter la beauté du sentiment amoureux, cette fête met surtout en lumière la marchandisation à tout-va et l’injonction consumériste et normative – « Sois jeune, beau/belle, en couple, riche et heureu-se » – qui enfonce le couteau dans la plaie de tous ceux qui ne s’y retrouvent pas. L’individualisme et le jeu de la comparaison, notamment via les réseaux sociaux, exacerbent les solitudes et mettent la pression sur les plus jeunes qui cherchent à « se caser » pour l’occasion…

Et pourtant, quoi de plus humain, de plus beau et de plus inspirant que le sentiment amoureux ?

Read More

Comme le père Noël, en fait.

J’ai été invitée ce mois-ci à participer au conseil gérontologique du 6e (ça a pas l’air hyper fun, je sais, mais j’étais très fière !). J’ai pu constater que l’intergénérationnel est une réponse pertinente à un enjeu de société majeur : le vieillissement de la population.

Ne prends pas peur, reste avec moi !

 

« Vieillesse » en France en 2019, c’est pas un mot qu’on a envie d’entendre…

Read More